Résumé :
Tom est sexy, irrésistible, attachant… mais c’est son boss !
Carla est une ancienne championne olympique devenue journaliste sportive. Quand la chaîne de TV où elle est chroniqueuse est rachetée, elle se retrouve à devoir obéir aux ordres de Tom Andres, le golden boy des médias. Sourire impeccable, corps sculptural et sexiness irrésistible, Tom a tout pour plaire, et Carla doit bien s’avouer que son boss ne lui est pas indifférent. Se laissera-t-elle séduire ou au contraire fera-t-elle tout pour résister aux charmes de Tom ? Et lui, est-il vraiment sincère ou a-t-il un objectif moins innocent derrière la tête ?
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Avis Honey :
Perfect Boss ou comment je me suis encore fait avoir avec un résumé trompeur !
J’avais passé un super moment avec le One Shot de Noël de Gwen Delmas en novembre dernier alors je n’ai pas trop hésité à réitérer l’expérience. Couverture et résumé classiques Made in Addictive, j’ai voulu faire connaissance de ce cher Tom. Et je n’ai pas été au bout de mes surprises au fur et à mesure de ma découverte.
Je ne vous cache pas que du côté de l’auteure j’ai pris à nouveau beaucoup de plaisir à relire ses mots. Elle a une jolie plume, un style vraiment agréable et prenant. Et ses personnages sont aussi attachants que détestables (et non je ne vous dirai pas pourquoi).
J’ai beaucoup apprécié l’univers du roman : être au cœur d’une chaîne TV, l’élaboration du programme, les réunions, l’esprit d’équipe, les ragots et surtout tout cet aspect sportif qu’on découvre grâce aux expériences personnelles des journalistes (enfin surtout de certains des anciens sportifs reconvertis). C’est un côté du roman que j’ai adoré. L’auteure exprime avec beaucoup de justesse les sentiments de son héroïne des qu’elle se dévoile sur les hauts et les bas de sa carrière. Des sentiments qui parleront à certains, j’en suis sûre.
Je n’étais pas préparé à la longueur du roman (je ne regarde jamais le nombre de page d’un livre numérique). Du coup, si j’ai cru que l’intrigue concernant Carla et Tom démarrait au quart de tour, c’était me tromper. C’est loin d’être si simple comme ça semble l’être au départ. Entre leur milieu professionnel et leur attraction personnelle, il y a tout un monde à suivre.
L’évolution du job ne se fait pas sent mal puisqu’à cause de son tempérament volcanique, Carla peine à trouver un terrain d’entente avec le second directeur et ami de Tom, Stephen. Et sa liaison passionnelle avec Thomas est loin d’être de tout repos. Pourtant je crois que je me suis rendue compte assez vite de l’issue ou plutôt l’orientation qu’allait prendre de cette romance (et j’ai un peu grincé des dents ET je ne vous dirais toujours pas pourquoi).
L’auteure a développé un récit plutôt prévisible mais relativement bien ficelé. Elle prend le temps de faire évoluer chaque thème : les rapports conflictuels avec Stephen ainsi que leur amélioration, la liaison torride et superficielle avec Tom, la relation familiale de Carla qui n’est pas de tout repos non plus. Tout progresse doucement mais sûrement.
Il y a également certains sujets abordés qui ont été traités avec beaucoup de délicatesse et de respect. Et pour le coup, je dis bravo à Gwen Delmas d’avoir osé parce que ce ne sont pas des choses qu’on apprécie toujours de lire en romance (choses qui m’ont parlé).
Perfect Boss cache plutôt bien son jeu malgré mon appréhension. Gwen Delmas a réussi à me convaincre de poursuivre et je ne regrette pas.
J’avais passé un super moment avec le One Shot de Noël de Gwen Delmas en novembre dernier alors je n’ai pas trop hésité à réitérer l’expérience. Couverture et résumé classiques Made in Addictive, j’ai voulu faire connaissance de ce cher Tom. Et je n’ai pas été au bout de mes surprises au fur et à mesure de ma découverte.
Je ne vous cache pas que du côté de l’auteure j’ai pris à nouveau beaucoup de plaisir à relire ses mots. Elle a une jolie plume, un style vraiment agréable et prenant. Et ses personnages sont aussi attachants que détestables (et non je ne vous dirai pas pourquoi).
J’ai beaucoup apprécié l’univers du roman : être au cœur d’une chaîne TV, l’élaboration du programme, les réunions, l’esprit d’équipe, les ragots et surtout tout cet aspect sportif qu’on découvre grâce aux expériences personnelles des journalistes (enfin surtout de certains des anciens sportifs reconvertis). C’est un côté du roman que j’ai adoré. L’auteure exprime avec beaucoup de justesse les sentiments de son héroïne des qu’elle se dévoile sur les hauts et les bas de sa carrière. Des sentiments qui parleront à certains, j’en suis sûre.
Je n’étais pas préparé à la longueur du roman (je ne regarde jamais le nombre de page d’un livre numérique). Du coup, si j’ai cru que l’intrigue concernant Carla et Tom démarrait au quart de tour, c’était me tromper. C’est loin d’être si simple comme ça semble l’être au départ. Entre leur milieu professionnel et leur attraction personnelle, il y a tout un monde à suivre.
L’évolution du job ne se fait pas sent mal puisqu’à cause de son tempérament volcanique, Carla peine à trouver un terrain d’entente avec le second directeur et ami de Tom, Stephen. Et sa liaison passionnelle avec Thomas est loin d’être de tout repos. Pourtant je crois que je me suis rendue compte assez vite de l’issue ou plutôt l’orientation qu’allait prendre de cette romance (et j’ai un peu grincé des dents ET je ne vous dirais toujours pas pourquoi).
L’auteure a développé un récit plutôt prévisible mais relativement bien ficelé. Elle prend le temps de faire évoluer chaque thème : les rapports conflictuels avec Stephen ainsi que leur amélioration, la liaison torride et superficielle avec Tom, la relation familiale de Carla qui n’est pas de tout repos non plus. Tout progresse doucement mais sûrement.
Il y a également certains sujets abordés qui ont été traités avec beaucoup de délicatesse et de respect. Et pour le coup, je dis bravo à Gwen Delmas d’avoir osé parce que ce ne sont pas des choses qu’on apprécie toujours de lire en romance (choses qui m’ont parlé).
Perfect Boss cache plutôt bien son jeu malgré mon appréhension. Gwen Delmas a réussi à me convaincre de poursuivre et je ne regrette pas.
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