Résumé :
Après un voyage de six mois à travers le monde, Amber, qui n'a plus de quoi se payer un billet retour vers la Californie, fait une halte à Positano, puis à Capri sur la côte Almafitaine, où elle va croiser la route d'un bad boy, en mode Latin lover.
Après un voyage de six mois à travers le monde, Amber, qui n'a plus de quoi se payer un billet retour vers la Californie, fait une halte à Positano, puis à Capri sur la côte Almafitaine, où elle va croiser la route d'un bad boy, en mode Latin lover.
Il est temps pour Amber MacLean - 24 ans - de prendre les bonnes décisions. Après six mois de voyage- sac à dos à travers la Nouvelle Zélande, l'Australie et l'Asie du Sud-Est, la voici en Méditerranée, fauchée, sans même avoir de quoi payer un billet retour pour la Californie. Il y a pire dans la vie que de se retrouver coincé en Italie du sud, au bord d'un littoral magnifique. Malheureusement, le seul travail qu'Amber trouve consiste à enseigner l'anglais à deux morveux.
Et ce qui ne lui facilite pas la tâche, c'est que les deux enfants sont sous la garde de leur ténébreux grand frère, l'ancien pilote de moto Desiderio Larosa. Sexy et mystérieux, Derio ne cesse de tester la patience d'Amber - sans parler de ses hormones.
Une fois devenue nounou à plein temps dans la vieille villa, la jeune fille se sent de plus en plus attirée par ce solitaire énigmatique. La voilà bientôt tiraillée entre une vie tranquille et sécurisante aux Etats-Unis et les mystères du coeur si secret de Derio.
Sous le soleil de Capri, la passion va crescendo. Mais Amber parviendra-t-elle à percer le mystère de Derio, son ténébreux italien ?
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Avis Honey :
J’ai découvert la plume de Karina Halle avec son 1er tome, Entre ciel et mer, où j’avais eu un avis plutôt mitigé. La découverte sur-détaillée du pays m’avait un peu refroidi, malgré tout, l’histoire de Josh et Gemma m’avait beaucoup plu.
Ce nouveau récit confirme le plaisir que j’ai eu à lire les mots de l’auteure. Sa plume est vraiment agréable et quelle surprise d’apprendre à connaître l’Italie et surtout Capri sans sur-abondance de détails pour alourdir le texte. Pour le coup, j’ai vraiment adoré ce voyage du début à la fin.
À la poursuite du soleil est une très belle romance. Amber est une jeune femme qui se cherche. L’omniprésence de ses parents dans son quotidien l’empêche de savoir ce qu’elle attend de sa vie et ce qu’elle voit pour son avenir. Pour fuir cette pression constante, elle a commencé à parcourir l’Europe. Son voyage emmène jusqu’en Italie, à Capri plus précisément où elle doit gagner de l’argent si elle veut pouvoir rentrer aux USA.
Dans la ‘Villa des Citronniers tristes’, la famille Larosa a totalement perdu pied depuis quelques temps. Elle s’est complètement fermée de tout joie, de bonheur et ou même d’amour. Chaque membre agonise et il est grand temps de ramener un peu de soleil dans cette demeure.
En acceptant ce petit job de professeur d’anglais, Amber est loin de s’imaginer dans quel gouffre elle plonge...
Karina Halle décrit avec beaucoup de justesse les sentiments de ses personnages. Ils ont tous leurs cicatrices à panser, leurs peurs à surmonter. Il est vraiment plaisant de suivre cette jeune femme essayer de prouver qu’elle est capable de se surpasser et d’affronter son pire cauchemar, et Derio, cet homme si triste, si amer, si glaçant, se débattre chaque jour avec ses propres démons au risque de rendre encore plus malheureux son frère et sa soeur.
On éprouve tout une palette d’émotions en compulsant le roman. On voudrait soutenir et encourager Amber, secouer Derio et guérir son âme ou encore punir un bon coup les deux petites terreurs de la maison tout en les réconfortant et les aimant de tout notre cœur.
J’ai passé des moments d’agacement, de doutes, de terreur, d’espoir. L’auteure aborde la difficulté du deuil et de la façon dont il peut être destructeur. J’ai été très touché par la sensibilité de ce récit, j’ai eu la gorge serrée par tout ce chagrin retenu depuis si longtemps. Mais aussi émue par chaque petit instant de joie ou de tendresse.
Je suis une romantique dans l’âme donc finir un texte poignant avec le sourire aux lèvres et des cœurs pleins les yeux ça n’a pas de prix.
J’ai découvert la plume de Karina Halle avec son 1er tome, Entre ciel et mer, où j’avais eu un avis plutôt mitigé. La découverte sur-détaillée du pays m’avait un peu refroidi, malgré tout, l’histoire de Josh et Gemma m’avait beaucoup plu.
Ce nouveau récit confirme le plaisir que j’ai eu à lire les mots de l’auteure. Sa plume est vraiment agréable et quelle surprise d’apprendre à connaître l’Italie et surtout Capri sans sur-abondance de détails pour alourdir le texte. Pour le coup, j’ai vraiment adoré ce voyage du début à la fin.
À la poursuite du soleil est une très belle romance. Amber est une jeune femme qui se cherche. L’omniprésence de ses parents dans son quotidien l’empêche de savoir ce qu’elle attend de sa vie et ce qu’elle voit pour son avenir. Pour fuir cette pression constante, elle a commencé à parcourir l’Europe. Son voyage emmène jusqu’en Italie, à Capri plus précisément où elle doit gagner de l’argent si elle veut pouvoir rentrer aux USA.
Dans la ‘Villa des Citronniers tristes’, la famille Larosa a totalement perdu pied depuis quelques temps. Elle s’est complètement fermée de tout joie, de bonheur et ou même d’amour. Chaque membre agonise et il est grand temps de ramener un peu de soleil dans cette demeure.
En acceptant ce petit job de professeur d’anglais, Amber est loin de s’imaginer dans quel gouffre elle plonge...
Karina Halle décrit avec beaucoup de justesse les sentiments de ses personnages. Ils ont tous leurs cicatrices à panser, leurs peurs à surmonter. Il est vraiment plaisant de suivre cette jeune femme essayer de prouver qu’elle est capable de se surpasser et d’affronter son pire cauchemar, et Derio, cet homme si triste, si amer, si glaçant, se débattre chaque jour avec ses propres démons au risque de rendre encore plus malheureux son frère et sa soeur.
On éprouve tout une palette d’émotions en compulsant le roman. On voudrait soutenir et encourager Amber, secouer Derio et guérir son âme ou encore punir un bon coup les deux petites terreurs de la maison tout en les réconfortant et les aimant de tout notre cœur.
J’ai passé des moments d’agacement, de doutes, de terreur, d’espoir. L’auteure aborde la difficulté du deuil et de la façon dont il peut être destructeur. J’ai été très touché par la sensibilité de ce récit, j’ai eu la gorge serrée par tout ce chagrin retenu depuis si longtemps. Mais aussi émue par chaque petit instant de joie ou de tendresse.
Je suis une romantique dans l’âme donc finir un texte poignant avec le sourire aux lèvres et des cœurs pleins les yeux ça n’a pas de prix.
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