Summer parviendra-t-elle à se faire une place parmi les trois sportifs dont elle partage dorénavant la maison ?
On dit que les opposés s'attirent. Et s'il y en a bien une qui est d'accord avec ça, c'est Summer, parce qu'il n'y a aucune raison logique pour qu'elle soit attirée par Colin Fitzgerald.
En règle générale, elle n'aime ni les intellos tatoués, ni les jeux vidéo, ni les joueurs de hockey qui pensent qu'elle est volage et superficielle.
De son côté, Fitz n'est pas persuadé que cette fille solaire, sûre d'elle, en un mot magnifique, soit celle qu'il lui faut.
Et pourtant, il va falloir qu'il s'y fasse car... ils sont colocataires !
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On ne présente plus Elle Kennedy, cette autrice est juste géniale. Je suis fan de ce qu’elle écrit alors forcément lorsqu’un spin-off de Off Campus sort, je ne peux pas résister.
Globalement, j’ai passé un agréable moment avec Fitz et Summer mais soyons clair tout de suite : Ce premier tome de Briar n’est pas vraiment à la hauteur de la saga initiale à mon goût. Ça n’empêche pas que j’ai passé un moment agréable.
Summer est une pile électrique, son esprit carbure à 1000 à l’heure, on a parfois du mal à la suivre et au départ, elle ne me plaisait pas plus que ça. J’avais du mal à la cerner, à l’apprécier. Il faut dire que c’est la dernière de sa fratrie, elle vient d’une famille riche. Donc, on la juge très vite comme une gamine pourrie gâtée. Alors, elle n’a pas toujours des réactions très mâtures mais au fil du temps, elle m’a touché. Savoir les difficultés qu’elle a nous attendri un peu.
Fitz, lui, est un beau paradoxe. D’un côté, il a le physique du joueur de Hockey, il aime ce sport on le sait. Mais de l’autre, c’est un artiste, un geek et j’avoue je ne pensais pas que ce mélange serait aussi plaisant. Il a ses proches failles évidemment. Et elles vont bien compliquées sa liaison avec Summer.
Leur relation aurait pu démarrer sur les chapeaux de roues. Ils se plaisent tous les deux. Mais il aura suffi d’une conversation pour que même leur amitié en soit gâchée. Entre quiproquos, indécisions, peurs, Summer et Fitz sont pas au bout de leurs peines.
J’ai apprécié retourner à Briar, j’aime cette ambiance universitaire, le monde du Hockey. Seulement, je n’ai pas spécialement adhéré avec le déroulement du récit. Summer joue un peu sur les deux tableaux, on est à la limite du trio et c’est une chose que je n’apprécie pas en romance. Il y a forcément quelqu’un qui est blessé.
Par contre, il y a d’autres sujets intéressants que Kennedy aborde intelligemment : l’art, les clichés sur les sportifs, le harcèlement...
Tout n’est pas parfait mais c’était agréable. Je suis curieuse de faire la connaissance de Brenna et Jake. J’ai ouïe dire que ce tome était meilleur que le premier.
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