À la suite d'une mission à risque au cours de laquelle il a frôlé la mort, Lennon a décidé de se retirer du terrain. Il se consacre désormais à la gestion de l'institut Westwood, l'entreprise familiale, qui forme les meilleurs gardes du corps du pays. Mais lorsque son père lui demande d'assurer la protection d'une dernière cliente, il accepte à contrecœur, pour le bien de l'agence.
Il ne se doute pas que sa rencontre avec Dovie Bennett va bouleverser son existence.
Brillante étudiante au MIT et passionnée d'astronomie, Dovie est la cible d'un corbeau dont les menaces se font chaque jour plus virulentes. Bien décidée à ne pas se laisser intimider, elle tente de continuer à mener une vie normale... jusqu'au jour où ses parents lui imposent la présence permanente d'un colosse grincheux à ses côtés.
Forcés de cohabiter, Dovie et Lennon vont devoir composer l'un avec l'autre... et surtout, avec l'attirance indéniable qui s'installe entre eux et qui les pousse à remettre en question leurs choix de vie.
Face aux obstacles qui se dressent sur leur route, à quoi seront-ils prêts à renoncer par amour ?
S’il y a bien une chose que j’affectionne dans les sagas, c’est l’unité au sein d’une famille. A peine j’en quitte une que je trouve le chemin vers une autre. Et la famille Westwood a un sacré potentiel.
Pour ce premier tome, on fait la connaissance de Lennon. A l’aide de sa retraite en tant que bodyguard, il se voit confier par son père une dernière mission, la protection rapprochée de une étudiante au MIT.
Cette étudiante n’est autre que Dovie Bennett, un petit bout de femme toute mignonne avec sa maladresse et son franc parlé, menacée par un corbeau.
Ils ne se réjouissent ni l’un ni l’autre de cette situation et pourtant ils vont devoir cohabiter ensemble.
J’ai pris beaucoup de plaisir à suivre ce premier opus : entre l’introduction de cette famille peu banale, la relation qui évolue tendrement entre Lennon et Dovie et les sentiments qui s’installent, j’ai tout bonnement adoré.
Laura S. Wild arrive à naviguer entre la douceur des sentiments naissants et le stress de ce danger qui plane au dessus de leur tête. Voir Lennon et Dovie lutter pour ne pas succomber était jouissif. Mais lorsqu’ils cèdent à cette attraction, c’est comme si les astreint s’étaient alignés pour eux.
La seule chose que je regrette, c’est d’avoir mis si longtemps pour relire Laura S. Wild car j’aime vraiment sa plume et ce nouvel univers. Vivement la suite, d’ailleurs je vais enchaîner avec le tome 2.
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