Elle va lui donner une raison de se battre.
Il va lui apprendre à affronter ses peurs.
Solomon Sanders n’a pas de temps à perdre avec les sentiments. Depuis toujours, la violence fait partie de son monde, de son ADN. Il se bat pour ce qu’il croit juste, pour les personnes auxquelles il tient, pour sauver les quelques graines de bonté qui subsistent dans le désert aride qu’est la ville de The Point. Alors, quand il tombe sur une jeune mère célibataire et sa fille en train de se faire agresser dans une ruelle sombre, il réveille la bête ; celle qui le transforme en monstre tatoué, en montagne de muscles et de rage. Sa mission accomplie et les damoiselles sauvées, Solomon est bien déterminé à oublier cette rencontre et à reprendre son quotidien. Mais, lorsqu’il découvre qu’Orley et sa fille, Noble, sont ses nouvelles voisines, il pressent que sa vie ne sera plus jamais la même…
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Si j’ai apprécié la première partie de cette saga, Bad, je ne peux pas dire que la seconde m’ait enchanté. Il y a toujours quelque chose qui m’a empêché de vraiment m’enthousiasmer dans ces derniers tomes. Même si ça reste des récits agréables à lire, je trouve qu'on s’est éloigné du concept de démarrage et ce n’est pas ce que j’en attendais finalement.
J’aurai même tendance à vous dire d’oublier que ce nouveau et dernier tome se déroule à The Point, parce que tout est seulement suggéré tout au long de l’histoire. Même les noms des anciens personnages ne sont pas donnés. Au moins, si vous voulez une romance légère et que vous n’avez pas lu Bad ou très peu avancé, vous pouvez la lire sans problème.
Sinon, j’ai passé un moment agréable de manière générale mais ça s’arrête là. Jay Crownover n’approfondit pas assez le contexte du récit. Elle traite ses personnages et leur psychologie en surface et se contente de nous conter le rapprochement entre les deux protagonistes. C'est mignon mais ce n'est pas Bad.
Malgré tout, l’héroïne reste touchante avec sa petite fille, on sent la difficulté de sa situation. On n’en connaît vraiment les détails que sur le dernier tiers du texte, ce qui est un peu tard pour vraiment tenir le lecteur en haleine. Et, elle fait la même chose avec son personnage masculin. En sachant que The Point est dirigé par un certain nombre de personnes, le héros est un peu trop sûr de lui à mon goût. A croire que c’est lui la relève de The Point.
Je reste très mitigée par cette lecture parce que d’un côté j’adore Jay Crownover et son histoire est sympathique. Mais si on garde en tête l’historique de The Point, ce bonus n’est pour moi pas à la hauteur de cette ville. Ça a manqué de gravité et d’intensité. Qui sait, peut-être que vous l’apprécierez plus que moi, je vous encourage à vous faire votre propre avis pour le coup.
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