Au moment où elle se rend à l’entretien d’embauche qui pourrait changer sa vie, Kate Marlowe manque de se faire piquer son taxi par le plus irrésistible des inconnus. Avec le bébé de sa défunte sœur à charge, ses factures en retard et ses loyers impayés, elle ne peut pas laisser filer cette voiture. Ce travail, c’est sa chance ! Ni une ni deux, elle décide de prendre en otage le bel étranger. Et même s’il y a de l’électricité dans l’air, entre eux, l’attirance est immédiate, foudroyante.
Tout oppose la jeune femme, impulsive et spontanée, au richissime P.-D.G., énigmatique et ténébreux. Tout… ou presque.
Tout oppose la jeune femme, impulsive et spontanée, au richissime P.-D.G., énigmatique et ténébreux. Tout… ou presque.
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J’ai toujours adoré les brochés des Éditions Addictives, les couvertures sont superbes et les livres sont énormes (pour un petit prix). Mais je suis tombée amoureuses de leurs petits poches tout mignons.
Comme je collectionne plus ou moins (Comment ça je minimise ?) les romans de Rose Becker (I Love You) j’ai sauté sur l’occasion et ce mignon petit bébé est arrivé chez moi.
Je ne vais pas vous mentir, je me suis aperçue que je l’avais déjà lu. J’ai reconnu cette histoire de bébé. Mais je ne me suis pas démontée, j’avais envie de replonger dedans. Et puis, j’aime les mots de Rose.
Quel est la première chose à laquelle j’ai pensé en concluant cette lecture ? Un gros coup de nostalgie. Cette histoire est sortie pour la première fois en 2015 et je me suis dit « mince, ce roman c’est exactement le genre d’histoire qu’on lisait cette année-là » et je me rends compte que même si on en lit encore un peu, la romance contemporaine a quelque peu évolué. Le milliardaire transi d’amour au premier regard a sacrément mûri depuis cette époque et puis on a changé de fantasmes aussi.
Finalement, même si j’ai lu des tonnes d’histoires similaires bourrés de clichés, j’ai beaucoup ri. Avec Le bébé, mon milliardaire et moi, j’ai fait un saut dans un bon gros feuilleton à l’américaine avec des rebondissements typiques de chez eux et je me suis éclatée. Parce que c’est surréaliste à souhait, parce que l’héroïne est ridiculement drôle, parce qu’ils s’aiment trop vite, parce que les solutions sont trop grosses, parce que j’aime la plume de Rose Becker...
Je ne sais pas du tout si je vous donne envie de le lire, tout ce que je sais c’est que moi j’ai beaucoup aimé ce petit retour en arrière en lisant cette romance. C’était drôle, has been, sexy et parfait sur le moment.
Comme je collectionne plus ou moins (Comment ça je minimise ?) les romans de Rose Becker (I Love You) j’ai sauté sur l’occasion et ce mignon petit bébé est arrivé chez moi.
Je ne vais pas vous mentir, je me suis aperçue que je l’avais déjà lu. J’ai reconnu cette histoire de bébé. Mais je ne me suis pas démontée, j’avais envie de replonger dedans. Et puis, j’aime les mots de Rose.
Quel est la première chose à laquelle j’ai pensé en concluant cette lecture ? Un gros coup de nostalgie. Cette histoire est sortie pour la première fois en 2015 et je me suis dit « mince, ce roman c’est exactement le genre d’histoire qu’on lisait cette année-là » et je me rends compte que même si on en lit encore un peu, la romance contemporaine a quelque peu évolué. Le milliardaire transi d’amour au premier regard a sacrément mûri depuis cette époque et puis on a changé de fantasmes aussi.
Finalement, même si j’ai lu des tonnes d’histoires similaires bourrés de clichés, j’ai beaucoup ri. Avec Le bébé, mon milliardaire et moi, j’ai fait un saut dans un bon gros feuilleton à l’américaine avec des rebondissements typiques de chez eux et je me suis éclatée. Parce que c’est surréaliste à souhait, parce que l’héroïne est ridiculement drôle, parce qu’ils s’aiment trop vite, parce que les solutions sont trop grosses, parce que j’aime la plume de Rose Becker...
Je ne sais pas du tout si je vous donne envie de le lire, tout ce que je sais c’est que moi j’ai beaucoup aimé ce petit retour en arrière en lisant cette romance. C’était drôle, has been, sexy et parfait sur le moment.
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