Quand elle se réveille, Briar se retrouve dans une pièce obscure, nue et ligotée. Quelques jours plus tôt, sa vie était encore parfaite, elle était même sur le point de se marier.
L’homme qui l’a enlevée, Lucas, est le diable incarné. Il en a la beauté, les yeux remplis de péchés, un sourire ténébreux... et attirant. Un diable d’une beauté si cruelle et dévastatrice que sa simple présence instille la peur.
Mais sous cette apparence terrifiante, se dissimule aussi un homme meurtri et hanté par un passé douloureux. Malgré elle, la jeune prisonnière commence à éprouver une troublante affection envers Lucas. Et peu à peu, se développe une passion contre nature. Une passion entre lumière et ténèbres...
Peut-on vraiment aimer ce que l’on devrait détester ?
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Je dois vous faire une confidence : au départ, je ne sais pas du tout pourquoi j’ai pris ce roman. Il est annoncé comme Dark Romance et je déteste souffrir.
Mais allez savoir, je me suis fait violence moi-même et j’ai voulu tenté le coup. Bon, quelques paroles rassurantes d’une autre blogueuse m’ont aidé à me lancer sinon j’aurai tardé pour le commencer. Et justement, autant mettre les choses au clair maintenant. Ce n’est pas une Dark, le début est certes difficile, un peu sombre mais c’est seulement les premiers chapitres.
Du coup, j’ai été agréablement surprise par le déroulement de l’histoire. Si le début m’a un peu anesthésié, l’enlèvement de Briar a été pour moi assez dur à découvrir, j’ai été vite prise par la complexité de l’intrigue.et par là, je parle surtout de toute l’atmosphère ou peut être même devrais-je dire le « monde » dans lequel évolue le héros et tous ces hommes. Briar y a été projeté violemment et elle va devoir se battre pour ne pas s’y perdre.
Mais allez savoir, je me suis fait violence moi-même et j’ai voulu tenté le coup. Bon, quelques paroles rassurantes d’une autre blogueuse m’ont aidé à me lancer sinon j’aurai tardé pour le commencer. Et justement, autant mettre les choses au clair maintenant. Ce n’est pas une Dark, le début est certes difficile, un peu sombre mais c’est seulement les premiers chapitres.
Du coup, j’ai été agréablement surprise par le déroulement de l’histoire. Si le début m’a un peu anesthésié, l’enlèvement de Briar a été pour moi assez dur à découvrir, j’ai été vite prise par la complexité de l’intrigue.et par là, je parle surtout de toute l’atmosphère ou peut être même devrais-je dire le « monde » dans lequel évolue le héros et tous ces hommes. Briar y a été projeté violemment et elle va devoir se battre pour ne pas s’y perdre.
Si la relation entre Lucas et Briar est couru d’avance, c’est bel et bien cette relation qui va adoucir les terribles choses qui se passent dans ce roman.
Je suis peut être bon public, pas assez confrontée à ce genre de roman mais il n’empêche que j’ai trouvé passionnante la psychologie de chacun des protagonistes.
Briar est une sacrée battante, le côté sombre et le combat de Lucas le rendent plus humain. Il cache bien son jeu d’ailleurs, bien plus qu’on ne le croit.
Il y a peu de personnages vraiment actifs dans ce roman. Par contre, je peux vous dire que j’ai haï William et tout ce qu’il représente. J’ai haï ce monde dans lequel ces hommes évoluent, c’est glauque, immonde et tellement pervers. Mais Molly McAdams nous attire avec elle dans ce monde ignoble, et avec ses mots parfois doux, parfois durs, nous incite le découvrir en entier et surtout à découvrir tous les attenants et les aboutissants. Un suspens plutôt prenant pour moi.
J’ai passé un bon moment, même quand le récit était pénible, même quand il était trop tendre (encore plus quand il était tendre). Et je trouve que l’auteure a rondement bien mené son intrigue.
Je suis peut être bon public, pas assez confrontée à ce genre de roman mais il n’empêche que j’ai trouvé passionnante la psychologie de chacun des protagonistes.
Briar est une sacrée battante, le côté sombre et le combat de Lucas le rendent plus humain. Il cache bien son jeu d’ailleurs, bien plus qu’on ne le croit.
Il y a peu de personnages vraiment actifs dans ce roman. Par contre, je peux vous dire que j’ai haï William et tout ce qu’il représente. J’ai haï ce monde dans lequel ces hommes évoluent, c’est glauque, immonde et tellement pervers. Mais Molly McAdams nous attire avec elle dans ce monde ignoble, et avec ses mots parfois doux, parfois durs, nous incite le découvrir en entier et surtout à découvrir tous les attenants et les aboutissants. Un suspens plutôt prenant pour moi.
J’ai passé un bon moment, même quand le récit était pénible, même quand il était trop tendre (encore plus quand il était tendre). Et je trouve que l’auteure a rondement bien mené son intrigue.
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