Résumé :
Lorsqu’elle voit partir en fumée l’atelier familial, Romane est dévastée. Charles, son petit ami, se trouvait à l’intérieur et semble être à l’origine de l’explosion, délibérément... Comment a-t-il pu en arriver là ? Certes, il était au plus mal depuis qu’Erik Barn, jeune photographe, s’était fait un nom en lui volant l’un de ses clichés. Romane est déterminée à se venger d’Erik. Elle ne s’attendait toutefois pas à découvrir un homme aussi troublant, passionné par son art...
Lorsqu’elle voit partir en fumée l’atelier familial, Romane est dévastée. Charles, son petit ami, se trouvait à l’intérieur et semble être à l’origine de l’explosion, délibérément... Comment a-t-il pu en arriver là ? Certes, il était au plus mal depuis qu’Erik Barn, jeune photographe, s’était fait un nom en lui volant l’un de ses clichés. Romane est déterminée à se venger d’Erik. Elle ne s’attendait toutefois pas à découvrir un homme aussi troublant, passionné par son art...
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Vous pouvez suivre Emilie Collins
Avis Honey :
Mince, je ne sais pas par où commencer. Je crois que depuis le début de sa promo, j’adore ce roman.
Le fait que la maison d’édition nous demande de choisir le titre (et le titre final n’est pas celui que je voulais mais je vous pardonne), le fait qu’on nous immerge en avance dans le monde de la photographie. Tout a été fait pour qu'on s’intéresse à ce roman.
Ensuite il y a le concept. Voir ce texte sublime agrémenté de magnifiques photos qu’elles soient professionnelles ou amateurs est juste une superbe expérience. J’ai aimé reconnaître celles où c’est l’auteure qui pose d’ailleurs. Je crois que j’ai mis un temps fou à le lire parce que je ne pouvais pas m’empêcher d’admirer les photos qui accompagnaient les mots d'Emilie.
Et enfin, il y a le récit. Je fonds devant les écrits de Collins, j’adore les émotions qu’elle me fait ressentir au fil des pages qui se tournent sans s’arrêter. L’intrigue nous plonge d’abord dans des pensées relativement sombres et tristes par ce qui vit l’héroïne. On vit avec elle finalement les étapes du deuil comme l’anéantissement de son monde, la perte de son amour,... Et puis vient la colère et tout un tas d’autres sentiments.
Avec Erik, on entre dans son monde et on voit à travers ses yeux ce que la photo ou tout simplement la création dans son ensemble signifie pour lui.
Il y a un mot qui revient souvent dans son histoire, c’est le verbe « vibrer » dans toutes ses déclinaisons (et sans répétitions évidemment ^^). Et je crois que c’est ce qui résume le mieux ce roman. L’héroïne vibre de vengeance, le héros vibre de sa passion et ensemble ils vibrent d’une symphonie parfaite.
Je ne crois pas avoir plus de choses à vous dire à part que j’ai adoré Romane et sa sensibilité, sa jumelle et sa fougue, Alexiane et sa sagesse, leur mère et sa patience. Les hommes de ce roman ont tous un petit quelque chose qui nous attendrit, nous passionne ou nous amuse. Chacun des personnages vaut le détour.
Il est beaucoup question d’art dans bien des domaines dans ce livre et je pense qu’Emilie peut dire qu’elle a aussi joué de son art avec Erge à ses côtés et c’est une belle réussite. Merci.
Le fait que la maison d’édition nous demande de choisir le titre (et le titre final n’est pas celui que je voulais mais je vous pardonne), le fait qu’on nous immerge en avance dans le monde de la photographie. Tout a été fait pour qu'on s’intéresse à ce roman.
Ensuite il y a le concept. Voir ce texte sublime agrémenté de magnifiques photos qu’elles soient professionnelles ou amateurs est juste une superbe expérience. J’ai aimé reconnaître celles où c’est l’auteure qui pose d’ailleurs. Je crois que j’ai mis un temps fou à le lire parce que je ne pouvais pas m’empêcher d’admirer les photos qui accompagnaient les mots d'Emilie.
Et enfin, il y a le récit. Je fonds devant les écrits de Collins, j’adore les émotions qu’elle me fait ressentir au fil des pages qui se tournent sans s’arrêter. L’intrigue nous plonge d’abord dans des pensées relativement sombres et tristes par ce qui vit l’héroïne. On vit avec elle finalement les étapes du deuil comme l’anéantissement de son monde, la perte de son amour,... Et puis vient la colère et tout un tas d’autres sentiments.
Avec Erik, on entre dans son monde et on voit à travers ses yeux ce que la photo ou tout simplement la création dans son ensemble signifie pour lui.
Il y a un mot qui revient souvent dans son histoire, c’est le verbe « vibrer » dans toutes ses déclinaisons (et sans répétitions évidemment ^^). Et je crois que c’est ce qui résume le mieux ce roman. L’héroïne vibre de vengeance, le héros vibre de sa passion et ensemble ils vibrent d’une symphonie parfaite.
Je ne crois pas avoir plus de choses à vous dire à part que j’ai adoré Romane et sa sensibilité, sa jumelle et sa fougue, Alexiane et sa sagesse, leur mère et sa patience. Les hommes de ce roman ont tous un petit quelque chose qui nous attendrit, nous passionne ou nous amuse. Chacun des personnages vaut le détour.
Il est beaucoup question d’art dans bien des domaines dans ce livre et je pense qu’Emilie peut dire qu’elle a aussi joué de son art avec Erge à ses côtés et c’est une belle réussite. Merci.
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