mercredi 5 décembre 2018

La gourmandise est un joli défaut - David Lange

Résumé :

Ce cadeau-là, elle ne l’attendait pas…

Pour sa première journée de vacances, Amy avait prévu de rester en pyjama, décorer son sapin et…ne rien faire. Au lieu de ça, toute l’équipe de Cuisine-moi un dessert, son émission culinaire préférée, vient de débarquer chez elle à l’improviste. Et, dans quelques minutes seulement, elle passera en direct à la télé. Heureusement, la pâtisserie c’est son domaine ! Et elle est bien décidée à leur en mettre plein la vue avec sa fameuse bûche de Noël aux fruits rouges. Sauf que Rick, le séduisant présentateur et célèbre chef pâtissier, la déconcentre beaucoup trop avec ses petits regards complices…
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Avis Honey :

L’inconvénient des novellas c’est qu’on ne peut pas se permettre de trop vous en parler sans risquer de vous dévoiler l’intrigue. Surtout que le résumé est largement suffisant pour se faire une idée de ce qui s’y passe. 

Par contre, je peux essayer de vous parler de l’ambiance et peut-être un peu des protagonistes. 
Le temps d’une longue scène, David Lange nous divertit de la meilleure des manières en alliant humour et passion de la cuisine. 

Amy, l’héroïne, qui a le chic pour se mettre dans l’embarras, nous amuse avec ses réflexions et ses maladresses (vite rattrapées par le beau Rick). On la suit tenter de surmonter le stress du tournage ou son attirance pour le présentateur. Elle m’a beaucoup fait rire, c'est certain. 
Quand à Rick, il est plutôt du genre charmant et très attirant. 

Le récit est parfait en transition. Le format novella nous permet de passer un très bon moment le temps d’une petite pause. J’ai adoré le ton, le thème et le final si sexy. 
Le seul reproche que je peux lui faire, c’est qu’il m’a terriblement mis en appétit. Moi qui ai une sainte horreur des bûches de noël (la faute à mon anniversaire 2 jours avant), suivre nos deux comparses cuisiner cette recette avec tant d’aisance et de complicité m’a donné drôlement faim. Vous en conviendrez, ce n’est pas un vrai défaut mais il fallait bien que je râle, non ? 

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