Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Sa femme Margot a été sauvagement assassinée par un serial killer. Totalement détruit, Alex ressasse jour après jour le souvenir bouleversant de son amour perdu.
Huit ans ont passé. Alex reçoit un e-mail anonyme. Il clique : une image... le visage d'une femme au milieu d'une foule, filmé en temps réel. Celui de Margot...
Date de sortie : 1er novembre 2006
Réalisateur : Guillaume Canet
Cast : François Cluzet, Marie-Josée Croze, André Dussollier
Genres : Thriller, Drame, Policier
Nationalité : Française
Source : Allociné
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« Ne le dis à personne » est le 2ème film en tant que réalisateur de Guillaume Canet. Il s’agit d’une adaptation du thriller de l’excellent Harlan Coben même si Canet axe essentiellement son histoire sur la relation amoureuse, qui dure depuis l’enfance, entre les personnages de François Cluzet et Marie-Josée Croze.
J’ai adoré ce film et pour moi, c’est un des meilleurs (voire le meilleur) thrillers des années 2000. Beaucoup d’aspects positifs dans cette œuvre notamment l’histoire. Du début à la fin, on est happé car le scénario est addictif. L’intrigue est bien construite et dose parfaitement les mystères et les rebondissements. Certes, à la fin il y a pleins d’informations à assimiler mais dans l’ensemble, la narration est fluide.
Autre point positif, les acteurs sont phénoménaux en particulier François Cluzet qui est plus que convaincant. Il y a une vraie connexion avec son personnage et tout est juste chez lui : ses gestes, son regard. Il varie parfaitement son jeu et exprime tous les sentiments que peut ressentir son personnage.
On retrouve aussi Gilles Lellouche dont la transformation physique apporte un vrai plus au personnage et surtout François Berléand est irrésistible.
Les rôles secondaires sont également intéressants grâce à la présence de noms comme Jean Rochefort, Guillaume Canet (himself), Nathalie Baye ou encore Jalil Lespert.
Je finirais en parlant du travail de Canet au niveau de la réalisation et son choix pour la musique. L’idée de la caméra à l’épaule donne une force supplémentaire à l’histoire et en couplant avec la BO de M, on est totalement immergé. Je revois encore la fameuse scène du périphérique...
Bref, oui j’ai tout aimé dans ce film. Je crois que je l’ai vu un nombre incalculable de fois et je ne m’en lasse pas. Alors laissez-vous tenter par cette histoire et surtout laissez-vous guider par cette musique...
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