Résumé :
Il n'est pas l'homme qu'il lui faut, il est celui qu'elle veut.
Élodie est une fille bien, une fille sage. Une fille intelligente qui, dès son premier jour au lycée de Saint-Louis, comprend que, si elle veut survivre, elle va devoir s’endurcir. Car son nouvel environnement est à mille lieues de l’établissement londonien dans lequel elle étudiait avant la mutation de son père : la violence et les trafics de drogue sont monnaie courante dans cette zone de non-droit régie par la loi du plus fort. Elle le sait, elle a intérêt à faire profil bas et à éviter qu’on la remarque. Surtout, elle doit rester loin de Zach Menser, celui que tout le monde craint et qui aurait fait de la prison. Mais, quand le destin la contraint à fréquenter de très près Zach, Élodie comprend que le plus dangereux chez ce garçon, ce n’est pas son passé trouble et violent, mais peut-être son sourire…
Élodie est une fille bien, une fille sage. Une fille intelligente qui, dès son premier jour au lycée de Saint-Louis, comprend que, si elle veut survivre, elle va devoir s’endurcir. Car son nouvel environnement est à mille lieues de l’établissement londonien dans lequel elle étudiait avant la mutation de son père : la violence et les trafics de drogue sont monnaie courante dans cette zone de non-droit régie par la loi du plus fort. Elle le sait, elle a intérêt à faire profil bas et à éviter qu’on la remarque. Surtout, elle doit rester loin de Zach Menser, celui que tout le monde craint et qui aurait fait de la prison. Mais, quand le destin la contraint à fréquenter de très près Zach, Élodie comprend que le plus dangereux chez ce garçon, ce n’est pas son passé trouble et violent, mais peut-être son sourire…
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Vous le savez, j’ai de grandes difficultés à lire ces derniers temps. Tout a à voir avec mes humeurs du moment et je ne vous cache pas que ça risque de prendre un certain temps avant que tout redevienne normal.
Du coup, je ne sais pas si mon ressenti sur ce roman est en lien avec les retours plutôt mitigés que j’ai vu passer ou tout simplement si c’est en rapport avec mon état d’esprit actuel (c’est à dire un état plutôt triste). Parce que j’ai eu beau avancé sur la découverte de l’histoire, pas moyen de m’attacher avec cette héroïne.
Elodie est censée être une jeune adolescente studieuse, coincée et rigide. Seulement, plus les pages tournent et moins cette description est correcte. On la découvre capricieuse, râleuse, envahissante et alors savoir pourquoi adepte de la boxe. J’ai presque envie de dire qu’elle est aussi bipolaire. Une contradiction à elle toute seule. Elle est totalement imprévisible. Je crois que j’ai eu plus peur de son personnage que de la très mauvaise réputation de la ville de Saint Louis (Concept auquel je n’ai pas adhéré, peut être un peu trop de surenchère à mon goût).
Le livre contient trois parties de la même manière que la sortie numérique en trois volumes finalement.
J’ai envie de vous dire que j’ai enchaîné les pages, les chapitres, les parties mais c’est pas le cas. Quasi 5 jours à lire cette histoire.
Avec un peu de recul, je pense vraiment que c’était juste pas le bon moment de lire ce récit. Parce que le seul intérêt que j’ai trouvé par exemple à la première partie c’est l’acharnement d’Elodie à connaître le fameux Zach et tout le mystère qu’il y a autour de lui. C’est la seule chose qui m’à fait tourner les pages.
Dans la seconde, les événements s’enchaînent. On se retrouve plus dans le côté prise de risques avec les trafiquants, la drogue et tout le toutim.
Par contre, dans la dernière, on fait un bon de cinq ans. Et pour le coup, j’ai bien apprécié ce « final ». Les personnages mûrissent, les émotions sont fortes et finalement on reprend espoir malgré les nouvelles épreuves.
Je ne peux pas vous dire que le roman est mauvais, ce n’est pas le cas. Alana Scott a une écriture agréable et dynamique. Elle a construit un univers intéressant et des personnalités relativement fortes. Seulement, ce n’était pas le bon moment pour moi. J’aurai sans doute dû lire Good Girls Love Bad Boys au rythme de sa sortie numérique. Car l’intégrale papier m’a paru trop long, l’ambiance était trop lourde. Mais je reste persuadée que ce livre peut plaire alors si vous voulez tenter l’aventure surtout n’hésitez pas.
Du coup, je ne sais pas si mon ressenti sur ce roman est en lien avec les retours plutôt mitigés que j’ai vu passer ou tout simplement si c’est en rapport avec mon état d’esprit actuel (c’est à dire un état plutôt triste). Parce que j’ai eu beau avancé sur la découverte de l’histoire, pas moyen de m’attacher avec cette héroïne.
Elodie est censée être une jeune adolescente studieuse, coincée et rigide. Seulement, plus les pages tournent et moins cette description est correcte. On la découvre capricieuse, râleuse, envahissante et alors savoir pourquoi adepte de la boxe. J’ai presque envie de dire qu’elle est aussi bipolaire. Une contradiction à elle toute seule. Elle est totalement imprévisible. Je crois que j’ai eu plus peur de son personnage que de la très mauvaise réputation de la ville de Saint Louis (Concept auquel je n’ai pas adhéré, peut être un peu trop de surenchère à mon goût).
Le livre contient trois parties de la même manière que la sortie numérique en trois volumes finalement.
J’ai envie de vous dire que j’ai enchaîné les pages, les chapitres, les parties mais c’est pas le cas. Quasi 5 jours à lire cette histoire.
Avec un peu de recul, je pense vraiment que c’était juste pas le bon moment de lire ce récit. Parce que le seul intérêt que j’ai trouvé par exemple à la première partie c’est l’acharnement d’Elodie à connaître le fameux Zach et tout le mystère qu’il y a autour de lui. C’est la seule chose qui m’à fait tourner les pages.
Dans la seconde, les événements s’enchaînent. On se retrouve plus dans le côté prise de risques avec les trafiquants, la drogue et tout le toutim.
Par contre, dans la dernière, on fait un bon de cinq ans. Et pour le coup, j’ai bien apprécié ce « final ». Les personnages mûrissent, les émotions sont fortes et finalement on reprend espoir malgré les nouvelles épreuves.
Je ne peux pas vous dire que le roman est mauvais, ce n’est pas le cas. Alana Scott a une écriture agréable et dynamique. Elle a construit un univers intéressant et des personnalités relativement fortes. Seulement, ce n’était pas le bon moment pour moi. J’aurai sans doute dû lire Good Girls Love Bad Boys au rythme de sa sortie numérique. Car l’intégrale papier m’a paru trop long, l’ambiance était trop lourde. Mais je reste persuadée que ce livre peut plaire alors si vous voulez tenter l’aventure surtout n’hésitez pas.
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