Au lendemain de la guerre 14-18, dans une petite ville allemande, Anna se rend tous les jours sur la tombe de son fiancé, Frantz, mort sur le front en France. Mais ce jour-là, un jeune Français, Adrien, est venu se recueillir sur la tombe de son ami allemand. Cette présence à la suite de la défaite allemande va provoquer des réactions passionnelles dans la ville.
Date de sortie : 7 septembre 2016 (1h 53min)
Réalisateur : François Ozon
Cast : Pierre Niney, Paula Beer, Ernst Stötzner, Marie Gruber, Johann von Bülow, Anton von Lucke, Cyrielle Clair, Alice de Lencquesaing...
Genre : Drame
Nationalités : Français & allemand
Distributeur : Mars Films
Distributeur : Mars Films
Source : Allociné
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Avis Sweety :
Quand on me connait un peu, on sait que j’aime beaucoup les thrillers et les films de guerre alors quand en plus il y a Pierre Niney, pour moi c’est jackpot ! Je ne suis pas une grande amatrice de cinéma français, surtout celui d’aujourd’hui, mais François Ozon reste un nom bien connu du 7ème art. J’avais adoré « 8 femmes » par exemple.
Ce que j’ai particulièrement aimé dans le film « Frantz » c’est le message qu’il porte. En effet, il parle de pardon et des conséquences de ses actes. Pour pouvoir continuer de vivre et avancer, il faut pardonner, se pardonner.
Je ne parlerais pas plus de cette partie du scénario car cela reviendrait à dévoiler l’histoire d’Anna et Adrien.
Concernant ce duo, bien que j’apprécie Pierre Niney, j’ai eu beaucoup de mal a accroché à ce couple. Je les ai trouvés très, trop, en retrait l’un envers l’autre et surtout envers Frantz. Il me manque quelque chose, une petite étincelle peut être. Je ne saurais dire mais il y a un côté fade qui me gêne. Mais d’un autre côté, cela donne une autre dimension concernant les sentiments que les personnages ressentent notamment le sentiment de culpabilité.
Un aspect du film que j’aime beaucoup est l’aspect humain qu’on les parents de Frantz lorsqu’il découvre une vérité sur leur fils. Ils paraissent tellement vrai et sincère dans l’acceptation de la perte.
Je diviserais ce film en deux parties : une en Allemagne et une en France. La partie en France est moins lisse et plus forte. Du traumatisme de guerre on arrive à une romance gentiment dessinée par Ozon.
Au final, ce film reste simple et lisse malgré la présence d’un Pierre Niney un peu trop effacé. Je ne garderais pas en mémoire ce film mais il reste « agréable » à regarder.
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