Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Le 26 avril 2003, Aron Ralston, jeune homme de vingt-sept ans, se met en route pour une randonnée dans les gorges de l’Utah.
Il est seul et n’a prévenu personne de son excursion. Alpiniste expérimenté, il collectionne les plus beaux sommets de la région.
Pourtant, au fin fond d’un canyon reculé, l’impensable survient : au-dessus de lui un rocher se détache et emprisonne son bras dans le mur de rocaille. Le voilà pris au piège, menacé de déshydratation et d’hypothermie, en proie à des hallucinations…
Il parle à son ex petite amie, sa famille, et se demande si les deux filles qu’il a rencontrées dans le canyon juste avant son accident seront les dernières.
Cinq jours plus tard, comprenant que les secours n’arriveront pas, il va devoir prendre la plus grave décision de son existence...
Date de sortie : 23 février 2011 (1h 34min)
Réalisateur : Danny Boyle
Cast : James Franco, Amber Tamblyn, Kate Mara, Clémence Poesy, Lizzy Caplan, Kate Burton, Treat Williams, Elizabeth Hales...
Genres : Drame, Thriller, Aventure, Biopic
Nationalités : Américain, Britannique
Source : Allociné
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Avis Sweety :
Il y a quelques jours, nous avons eu un petit échange concernant ce film sur un post de la page FB du blog. Honey nous parlait de sa réticence à voir ce film à cause de LA scène du film. Donc je vais essayer de donner envie à mon double de regarder ce film (quitte à ce qu’elle mette les mains sur ses yeux lors du fameux passage).
Tout d’abord, rappelons que ce film est tiré d’une histoire vraie. Il retrace un morceaux de la vie d’Aron Ralston. L’histoire de départ est assez simple et c’est tout le travail de mise en scène de Boyle et le jeu d’acteur de Franco qui font le reste (et les décors aussi).
On est d’accord, il y a une scène très dure mais tout le reste du film tient la route. Dès le début, nous sommes plongés dans un décor très bien mis en avant. On a, nous aussi, envie de suivre Franco dans son excursion pour découvrir des paysages à couper le souffle. Dans cette lumière au couleur orangé et ocre, on retrouve un James Franco au sommet de son art. Dans ce film, on découvre (pour celles et ceux qui ne le savaient pas) tout son talent. Il est réellement doué et les nominations qu’il a eu pour ce rôle sont loin d’être imméritées.
Face au travail de Franco, on retrouve le plus que doué Danny Boyle qui est, pour moi, une référence dans le monde cinématographique. J’adore son travail depuis que j’ai découvert le savoureux « Petits meurtres entre amis » et surtout « Trainspotting ». Ce réalisateur a une pâte, une marque de fabrique. Il est reconnaissable et celle-ci est bien présente dans 127 heures. Il réussit à allier son univers au personnage de Franco. Le rendu du film fait que celui-ci est très haletant et intense.
Jusqu’au bout on suit l’aventure d’Aron et on croise les doigts pour lui. On espère, on a mal (et pas que pour sa main) et on est soulagé.
Ce film est sous tension pendant 1h30. Ce huis-clos est captivant et fort. C’est pour toutes ces raisons que je vous conseille vivement de le voir. Hein Honey !!
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